A l’heure où les nouvelles technologies de l’information et de la communication progressent à grande vitesse, des méthodes d’enseignement et d’apprentissage audacieuses ont vu le jour à travers le monde. L’heure n’est-il pas venue d’adapter autant que faire se peut notre système éducatif à l’ère du digital ?

Conscient de cette avancée numérique et de son apport dans le milieu scolaire, une équipe de professeurs et spécialistes en pédagogie ont créé FasQI.

Objectif : garantir aux jeunes élèves tunisiens une formation de haut niveau en ligne.

Numéro Un de la révision en Tunisie, fasqi.com (1) est une plate-forme de soutien scolaire en ligne mise en œuvre en novembre 2016 et dédiée aux lycéens tunisiens.

Ce mode d’apprentissage cible les élèves de 12 à 20 ans, autrement dit la génération hyper connectée, très présente sur les réseaux sociaux à travers Facebook, Instagram, YouTube, Snapchat…

Si les cours particuliers (2) classiques demandent en général aux apprenants de se déplacer et ainsi de perdre du temps et beaucoup d’énergie, FasQI, lui, a l’avantage de contourner ce problème. Cette méthode a pour objectif de faciliter la tâche en proposant une solution non limitée par un espace-temps, de garantir une formation de haute qualité à partir de chez soi, de proposer une solution économique aux parents (l’abonnement étant de 10 dinars seulement par mois après une période de gratuité).

Le E-learning est un marché en expansion dans notre pays (de 23% en 2012, il est passé à 64% en 2015). Il existe certes déjà des sites de cours de soutien scolaire, mais ces derniers utilisent un procédé classique technologiquement limité avec seulement des graphiques et des audios. FasQI est le premier sur le marché tunisien à proposer des supports de cours vidéo animés par des professeurs tout en adoptant un discours accessible aux jeunes lycéens.

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La force de FasQI réside dans sa capacité à gagner la confiance des élèves et des parents à travers un contenu consistant et attractif. C’est que FasQI c’est plus de 80 vidéos de cours en haute définition chaque semaine, une mise à jour quotidienne suivant l’évolution des cours du secteur étatique, des cours accessibles 24/24, une application mobile permettant aux abonnés d’accéder librement aux cours, un programme spécialisé pour les bacheliers, une interactivité avec les professeurs, des exercices, quiz, suivi d’évolution…Le tout à travers un simple clic.

Ainsi donc, pour atteindre efficacement sa cible, la curiosité des élèves sera sollicitée autour du mot FasQI par des moyens de teasing (spot vidéo, jeux Internet, affichage…). Le discours utilisé sera adapté à cette génération sans perdre l’aspect pédagogique (respect de la langue, consistance des cours), une plate forme simple et pratique (mais usant des dernières technologies) est utilisée. Sans compter un site Internet structuré, riche en informations et proposant au consommateur une navigation fluide.

L’objectif de FasQI est d’atteindre un trafic de 200 mille visiteurs et un taux de conversion de 10% pendant l’année scolaire 2016-2017. Mais aussi de fidéliser les élèves inscrits et augmenter le nombre d’abonnés au cours des prochaines rentrées scolaires.

(1) FasQI ou fousqa est un terme utilisé par les lycéens pour définir généralement un petit bout de papier contenant le cours qui permet de tricher à l’examen. La stratégie de communication du Numéro Un de la révision en Tunisie se base sur l’idée suivante : « La meilleure façon de tricher, c’est de connaître son cours par cœur ».

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(2) D’après une étude du ministère de l’Education, les familles tunisiennes dépensent annuellement quelque 700 millions de dinars sur les cours particuliers. Six millions de smartphones sont connectés au Net en Tunisie en 2016, et 80% des Tunisiens utilisent Facebook via le mobile.